Une semaine à la campagne, dans notre havre de paix solognot, pour passer les fêtes au calme et loin du quotidien… semaine météorologique avec des écarts de température assez conséquents, Noël au balcon (7°C matin / 12°C après-midi) et fin d’année gelée (- 6°C matin / 3°C après-midi) !

Dès notre arrivée, hors de portée de notre voyou de Dalton, un petit sapin va voir le jour pour nous accompagner toute la semaine et nous plonger dans l’ambiance de Noël quoi que l’absence des parents et grands-parents pèse beaucoup lors de ces fêtes familiales et celles-ci n’ont véritablement plus la même saveur ! Nostalgie quand tu nous tiens !!

Profiter de cette semaine verte pour faire de belles balades avec Dalton dans les champs, pour changer un peu de la forêt de la région parisienne, des sorties en vélo (histoire de compléter le total des kilomètres en marche et vélo du bilan du mois de décembre !), faire des petits repas festifs, et paresser au chaud en visionnant des DVD en retard ou en lisant.

Anecdote : lors d’une sortie en VTT, quatre chevreuils nous ont coupé la route en traversant devant nous, il en a fallu d’un mètre pour qu’ils nous percutent !! séance frayeur pour les deux parties, je pense, car eux ils étaient paniqués et prenaient leur « pattes à leurs cous », et nous, rien que de penser qu’ils auraient pu nous taper fait peur… mais ce sont les joies de la campagne, et sa faune !

Nous vous souhaitons une très belle année 2017, qu’elle soit douce, qu’elle vous apporte bonheur, santé, amour, et réussite quel que soit le domaine souhaité avec de jolies surprises ! Pour moi, elle sera, entre autre chose, sportive !

Profitez de chaque petit moment de bonheur que vous offre la vie, là est la clé d’une vie sereine et apaisée…

Je terminerai tout naturellement cet article en remerciant mes donneurs pour m’avoir permis de fêter de nombreux jours de l’an en pleine santé et les rassurer quant aux bons soins que j’apporte à ces précieux cadeaux !

Même mon philosophe préféré me fait un clin d’oeil en vacances et en ce début d’année !

« Galette tu mangeras, 

bonne année tu auras !! »

Si, si il me l’a dit !

 MEILLEURS VOEUX A TOUS !

« CIGARETTE ET SOLEIL VERT »

de Brigitte PUCE  CASTANG

Résumé :

Voulez-vous savoir comment j’ai pu m’en sortir de MANIÈRE STUPÉFIANTE avec une grave maladie pulmonaire ? 
Voulez-vous connaître les MOTIVATIONS PUISSANTES 
qui m’ont aidé sur mon chemin ? 
Voulez-vous apprendre le secret de ma bonne santé de maintenant ? 
Voulez-vous savoir comment j’ai fait à 60 ans pour avoir aujourd’hui un souffle SUPÉRIEUR à la moyenne ? 
Faites-vous partie de ces personnes qui n’osent pas avancer ? J’étais comme vous et pourtant je m’en suis sortie. Je vous explique comment y arriver vite.
Je vous révèle comment maintenant je peux COURIR alors que je ne pouvais même pas MARCHER., et tout cela FACILEMENT. 
Vous apprendrez dans mon livre comment j’ai réussi à revenir à la vie de manière pratiquement magique. 
Ne faites-plus partie des personnes qui n’avancent pas, j’en faisais partie aussi, j’étais comme vous. Je vais vous donner le POUVOIR de vous en sortir et de faire comme moi. 

Mon avis :

Un livre autobiographique d’une malade atteinte d’emphysème B.P.C.O. (Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive) et qui raconte son histoire, du diagnostic de la maladie à la greffe, avec beaucoup d’humour, malgré les souffrances et le mal-être subis. Mais l’optimisme et la force de caractère, qui sont les deux points forts qui caractérisent Brigitte, lui permettront de se sortir de bien des déboires et d’apprécier la vie « à pleins poumons », qui plus est, des poumons « tout neufs » !

Bien sûr, en tant que greffée moi-même, à deux reprises, d’un rein, j’ai retrouvé des similitudes dans le récit de l’attente, de la greffe et la période post-greffe, mais une greffe de rein n’a rien à voir avec une greffe de poumons, et je suis admirative du parcours de Brigitte et de sa force de récupération pour avoir pu, moins d’un an après la greffe des deux poumons, écrire un livre et effectuer un déménagement !

Extraits :

« J’ai envie de rire, de chanter, je m’enivre de ce bonheur tout frais. Ah oui, un  conseil, faites-vous greffer et après vivez !

Non, embrassez votre vie, mangez votre vie, faites de chaque instant le bonheur, vivez avec le rire au coin des lèvres en permanence, envahissez votre vie de bonheur, de joie, et d’activités et faites comme si vous étiez redevenu un enfant qui a l’innocence de découvrir que tout est merveilleux sur la terre. »

Alors, ce n’est pas lui sur la photo mais il lui ressemble tellement que je le soupçonne d’avoir une double vie pendant que ses maîtres travaillent pour le nourrir !

Et outre le nourrissage, il y a le couchage, l’habillage, le lavage, le « baladage », le « soignage », bref… une vraie vie de chien… mais pour ses maîtres !!!

Non, je rigole bien sûr… quoi que, faire sortir ses maîtres au lever du jour en forêt, quelle que soit la météo, pour aller dégourdir les pattes de « Monsieur » et risquer d’aller réveiller la faune sauvage… tout ça parce que « Monsieur » n’a pas bien retenu les leçons du peu d’éducation que l’on a voulu lui donner… Rappel ? connais pas !!! ce n’est pas cool !!! Mais il le sait ce voyou, c’est autant un plaisir pour lui que pour nous, alors il abuse et il faut le voir nous narguer en forêt quand il décide de prendre des chemins parallèles au nôtre… C’est simple, on se dit avec Daniel « Il fait sa balade, et nous la nôtre et rendez-vous à la croix » ! C’est notre point de ralliement, seuls les habitués de cette forêt peuvent comprendre ce passage !

Quant à la nourriture, il a ses habitudes quotidiennes auxquelles il ne faut pas déroger sous peine de subir son regard de « chien triste » (ah, oui, il est très bon comédien, d’où sa double vie je pense !!) qui nous culpabilise immédiatement !

Qui a dit, c’est un chien gâté ? Je réfute, il est archi gâté !

Que la santé te préserve encore un petit peu mon Dalton pour vivre ensemble quelques belles aventures…

JOYEUX ANNIVERSAIRE !

Trois mois tout pile se sont écoulés depuis ma dernière visite avec mon cher Dermatologue qui me suit en ville depuis plusieurs années maintenant et me traite avec bonheur mes kératoses fabriquées dans ma propre usine, très productive, à ses dires !

Mais pour lui, en ce moment, ce n’est que de l’entretien ; une quinzaine de kératoses traitées par consultation, tous les trois mois, c’est de l’entretien ! Ce sont ses propres mots : « Il faut que je débroussaille pour éviter que l’on soit envahi !! ». Un peu comme l’entretien des espaces verts, moi, mon corps est un potager ou un jardin où je sème des kératoses, les cultive et qu’il faut parfois arracher en dernier recours … belle image poétique ! Mais à la fin de la séance, pour coïncider avec la période de Noël, avec mes brûlures dispersées sur le visage, les bras, les mains, le décolleté, disons que je suis un sapin de Noël avec ses boules multicolores !

Pour la première fois, il a brûlé sous l’oeil, au niveau de la paupière et en même temps qu’il le faisait, il me dit : « Ne vous inquiétez pas, comme ça touche à la paupière, ça va gonfler plus qu’aux autres endroits !! ». Et moi de lui répondre : « C’est sympa, j’ai un conseil d’administration demain, je vais faire peur !! ». Lui : « Vous leur direz que c’est votre Dermato qui s’est déchaîné, vous étiez son dernier rendez-vous de la journée et il en avait marre !! ». Bon ça promet si j’en juge déjà par le décolleté qui bourgeonne bien, une heure après l’azote !

Et pour que cela ne reste que de l’entretien, il convient de respecter ce délai de 3 mois entre chaque consultation afin d’éviter qu’un carcinome ne se forme à notre insu (4 sur mon tableau de chasse, ça suffit, on va dire !).

Donc, la routine pour cette consultation, quoi que avec ce médecin, ce n’est jamais la routine car on parle de tout pendant la séance et il s’intéresse beaucoup à ma greffe, à mes derniers résultats, au traitement, aux activités que je fais… On papote comme chez le coiffeur en quelque sorte !!

20 minutes actives, lui avec sa bonbonne d’azote (toujours pleine ! c’est un médecin très prévoyant !) et moi avec mes impacts de feutre vert qu’il n’a pas omis de badigeonner sur les zones à traiter, histoire de ne pas en oublier… ça serait dommage !!

Mais au fait qu’est-ce que la cryothérapie ?

La cryothérapie vient de l’association des termes grecs « kruos » (cryo) qui signifie froid et « therapeuein » qui signifie soigner. Utilisés de façon empirique depuis l’époque d’Hippocrate, les traitements par le froid ont connu leur essor à partir des années 1970 où les premières études ont démontré leur réelle efficacité. En dermatologie, la cryothérapie est utilisée afin de faire disparaître certaines lésions.

Pourquoi ?

Les traitements par le froid utilisés en dermatologie ont pour objectif de détruire les lésions cutanées en les brûlant. On parle de cryothérapie pour la destruction par brûlure superficielle. On parle de cryochirurgie lorsque cette technique est utilisée sous anesthésie locale pour détruire plus en profondeur certaines tumeurs et des cancers cutanés. L’intensité du froid délivré par la congélation est alors contrôlée.

Comment ça marche ?

Si le refroidissement progressif de tissus humains permet leur conservation, la congélation très rapide suivie d’un réchauffement lent entraîne, en revanche, leur destruction. Le principe des traitements par le froid est d’appliquer brutalement sur les lésions à détruire une source de froid, en général de l’azote liquide, afin de créer un véritable « choc thermique ». L’abaissement très brutal de la température engendre une cristallisation de l’eau intracellulaire, c’est-à-dire de l’eau contenue dans les cellules, à l’origine d’une destruction de la membrane et des structures cellulaires, responsables de la mort de la cellule. Le réchauffement progressif du tissu renforce encore ce processus de destruction cellulaire.

***

C’était la minute médicale avec l’apprentissage d’un nouveau mot « cryothérapie », bien connue des greffés puisque la conséquence directe du traitement post-greffe, mais pas que… Qui n’a jamais eu de verrue dans son enfance en revenant de la piscine municipale et qu’il a fallu traiter avec de l’azote ?

Un peu de culture médicale, ça ne fait pas de mal, n’est-ce pas ?

Donc rendez-vous pris pour la prochaine consultation le 7 avril avec des kératoses toutes neuves !

Oui, je vous entends dire : « Encore ! » ou « Déjà ! »…

Dans la série « Il n’y a pas de mal à se faire du bien ! »….voilà la suite…

Une semaine après avoir essayé le massage thaïlandais des pieds, nous voici une nouvelle fois entre les mains des masseuses dans les salons délassants de Ban Sabai.

Tandis que Daniel a été fidèle à un massage des pieds tant la première fois lui avait fait du bien et dont il avait ressenti les bienfaits tout au long de la semaine, moi j’étais prête à essayer autre chose, et c’est donc le crâne que j’ai choisi tout en me renseignant avant du déroulement pour ne pas avoir de mauvaises surprises de type manipulations par exemple que je n’apprécierai pas ! L’équipe m’ayant rassurée, je me suis lancée !

Le massage thaï de la tête

La tête comporte de nombreuses régions dites énergétiques. Un massage thaï du crâne permet de stimuler ces zones réflexes afin de procurer de nombreux bienfaits. En plus de vous sentir apaisé, vous éloignez les tensions de façon durable. Découvrez tous les effets d’un massage thaï du crâne sur votre bien-être.

Principe du massage thaï et du massage thaï du crâne

La technique du massage thaï, issue de la tradition thaïlandaise, repose sur des légers étirements utilisant la paume de la main ainsi que les doigts plus particulièrement les pouces. Le praticien cible les différents points énergétiques. Généralement, on fait appel à ce procédé pour lutter contre la fatigue, pour améliorer la circulation sanguine, mais aussi pour réduire les tensions musculaires. Depuis des millénaires, cette pratique est reconnue pour être efficace. Pour le crâne, le massage le plus fréquemment utilisé est celui avec un style ferme. Les gestes réalisés s’apparentent au frottage. Pour éviter les griffures, le praticien doit avoir les ongles coupés courts dans la mesure où il utilise les extrémités de ses doigts pour prodiguer le massage.

Les mouvements exécutés couvrent l’ensemble de la tête. Le masseur prend soin de placer ses pouces à la base du crâne, juste en haut de la nuque. Il les fait ensuite glisser le long du cuir chevelu sans faire bouger les doigts. Tout au long du massage, les phalanges couvrent tout le crâne. On notera au passage que les deux auriculaires sont positionnés au niveau de la tempe. Le massage thaï du crâne se poursuit par des mouvements rotatifs appuyés. Par la suite, les petits doigts sont dirigés vers les sourcils. En dernier lieu, les pouces sont ramenés vers la nuque en commençant par les oreilles.

Les bienfaits massage thaï pour le crâne

Le massage thaï du crâne procure de nombreux bienfaits aussi bien du point de vue physique que psychique. Grâce à cette pratique, on accède à une sensation de bien-être indescriptible, toutefois, l’on est sûr de se sentir particulièrement rempli de sérénité. Les cheveux sont brillants et en bonne santé. Le sommeil est réparateur et profond.

Par ailleurs, les éventuelles douleurs ressenties au niveau du visage, du cou et des épaules disparaissent au fil des séances. Le stress est atténué et on est moins sujet aux dépressions. En dépit de ses nombreux bienfaits, sachez que le massage thaï du crâne ne convient pas aux femmes enceintes ou aux personnes ayant des soucis au niveau du cœur, des problèmes d’hypertension, des troubles de la circulation sanguine ou celles qui souffrent d’arthrose.

J’ai testé pour vous le massage thaï du crâne :

Toujours en duo, l’un à côté de l’autre, chacun notre masseuse et notre massage personnalisé,  Daniel habillé de son pantalon de pyjama taille « 70″ ! et moi d’une chemisette bien large aussi , le tout dans une ambiance cosy, relaxante, lumières tamisées, musique douce, thé offert… Tout est présent pour un agréable moment de détente et de bien-être.

J’ai A-DO-RE le massage du crâne avec des pressions au niveau des tempes, de la nuque, sur toute la superficie de la tête, des trapèzes et massage jusqu’en bas du dos. On sent, comme pour les pieds, des gestes précis effectués par des professionnelles attentives au bien être de leurs clients, douces tout en étant fermes pour le drainage…

Comme on l’avait prédit la semaine dernière, nous avons opté pour un forfait et nous sommes repartis aujourd’hui en plus avec un joli coffret d’encens, histoire de rester dans l’ambiance zen en rentrant à la maison….

A bientôt…

Les associations et la Ville d’ARGENTEUIL organisent chaque année une journée du bénévolat, dans le cadre de « la Journée Mondiale des Bénévoles » du 5 décembre, qui a pour objectif de mettre en lumière leur action, leur rôle dans la vie quotidienne des habitants et de permettre à chacun de rencontrer des bénévoles et, qui sait ?, peut-être, de s’engager à votre tour, bénévolement, dans telle ou telle association. Quelle que soit sa vocation (humanitaire, culturelle, éducative, sportive…), il y a toujours une association qui vous correspond.

France ADOT 95 participe à cette manifestation dans le but d’intéresser les personnes en recherche de bénévolat à notre cause du don d’organes et de moelle osseuse, ou tout simplement aux dons de vie, pour partager avec nous les manifestations qui ont lieu tout au long de l’année dans tout le département du Val d’Oise. Et cerise sur le gâteau… notre Présidente sur l’affiche de l’événement !!

C’est en compagnie de Nicole, greffée rénale depuis 1 an 1/2, que cet après-midi était partagé avec une dizaine de personnes venues d’elles-mêmes se renseigner au stand, pour certaines en profiter pour faire leur carte de donneur, et peut-être parmi elles de futurs bénévoles qui nous accompagneront dans nos sensibilisations annuelles.

Déjà près de 2 000 bénévoles officient au sein de FRANCE ADOT au niveau national pour transmettre au public, dans un climat de confiance, les connaissances nécessaires à la compréhension de ces sujets délicats.

Définition d’un bénévole de FRANCE ADOT :

C’est « Monsieur tout le monde », qui a su dire OUI au don d’organes et/ou de moelle osseuse, fier de son choix, et qui souhaite transmettre ses convictions ; c’est un « Ambassadeur du Don d’Organes » !

Définition du bénévolat par Wikipédia :

Le bénévolat est une activité non rétribuée et librement choisie qui s’exerce en général au sein d’une institution sans but lucratif (ISBL) : association, ONG, syndicat ou structure publique. Celui ou celle qui s’adonne au bénévolat est appelé « bénévole » L’étymologie du mot vient du latin « benevolus » qui signifie « bonne volonté ».

Se sentir utile et faire quelque chose pour autrui est le moteur des bénévoles, lesquels s’impliquent dans des domaines d’activité sans rémunération aussi divers que le sport la culture ou les loisirs, l’humanitaire, la santé, l’action sociale,  la défense des droits, la défense de l’environnement et de la biodiversité ou encore l’éducation.

Définition du bénévolat selon Christel (oui c’est moi !) :

Être bénévole, c’est donner de son temps, c’est partager des moments forts par des rencontres, c’est défendre une cause à laquelle on croit, c’est s’investir dans un club sportif qui est votre passion (j’ai commencé dans mon club de Tennis local pendant 15 ans), c’est se sentir utile pour quelque chose, c’est croire que les petits ruisseaux font les grandes rivières, c’est … c’est bien en fait et j’encourage chacun, chacune à tenter l’expérience dans quelque association que ce soit, pour quelque cause que ce soit, il y aura toujours une association qui correspondra à vos souhaits !

BILAN DES ACTIVITES PHYSIQUES

(MARCHE + VELO + CORDE A SAUTER) 

DU MOIS DE NOVEMBRE 2016

A 2 ANS ET 5 JOURS POUR MA 2ème GREFFE RENALE

TROIS RECORDS BATTUS, TROIS !

- Le nombre de kilomètres parcourus en une séance de VELO DE COURSE = 72,080 km (ancien record : 64,830 km).

- Le nombre de sauts en un mois à la CORDE A SAUTER = 3420 sauts (ancien record : 2471 sauts)

- Le nombre de sauts en une séance à la CORDE A SAUTER = 287 sauts (ancien record : 222 sauts)

MARCHE

     164,100 km parcourus

soit une moyenne de 5,470 km / jour

(Record : 272,400 km en août 2015)

Meilleure séance :

14,800 km le 12 /11 (Record : 22,310 km en janvier 2016)

Récapitulatif mensuel de la marche en nombre de pas sur l’application du téléphone portable :

+

VELO (VTT + Course + Appartement)

Vélo d’appartement : 4 séances = 31.000 km parcourus

VTT :  4 séances = 88,386 km parcourus

Course :   2 séances =  125,040 km parcourus

TOTAL VELO =  244,426 km parcourus

Soit une moyenne de 24,442 km / séance

(Record = 375,628 km en août 2016)

Meilleures séances :

Vélo d’appartement = 9,000 km le 09/11 (Record = 25 km en juillet 2016)

VTT =  32,503 km le 27/11 (Record = 52,054 km en août 2016)

Course :  72,080 km le 06/11 (Record = 64,830 km en septembre 2016)

Récapitulatif mensuel  en temps passé sur les vélos

2 h 46 + 3 h 49 + 19′ + 28′ + 2 h + 25′ + 25′ + 42′ +1 h 02 + 3 h 19 = 15 h 15

CORDE A SAUTER

  16 séances =  3420 sauts = 1 h 14′ 42

(Record = 2471 sauts en octobre 2016)

Meilleure séance :

le 25/11 avec 287 sauts (Record = 222 sauts en octobre 2016))

Récapitulatif mensuel sur l’application du téléphone portable :

CONCLUSION :

Honte à moi mais aucune séance de tennis de table ce mois-ci ! Il faut dire que j’ai dû mal à concevoir le sport le soir après la journée de travail et l’excitation provoquée avant de s’endormir. Il va donc falloir que je m’organise autrement et que je profite des quelques séances de tennis de table proposées le dimanche matin pour y participer en alternance avec le vélo. Bon l’hiver je préférerai aisément troquer le vélo au froid par le tennis de table au chaud dans une salle.

J’ai pris un bon rythme avec la corde à sauter le midi pendant ma pause au bureau et améliore mes résultats en travaillant le cardio.

Concernant le vélo, un bon résultat kilométrique mensuel favorisé par la pratique des trois types de vélo (appartement, VTT et course) avec ma première randonnée VTT proposée par mon Club Cycliste ! Une première mais peut-être aussi une dernière, tout au moins à cette saison de l’année où pour faire le VTT en forêt, il faut aimer les côtes, les cailloux, les branches d’arbres, le nombre important de participants (1174 !) et bien sûr… la boue  ! Autant dire que ce ne sont pas mes préférences en la matière, qui plus est en ayant un vélo qui a fait des caprices avec le dérailleur ne voulant pas passer sur le petit braquet pour m’aider à monter les cotes ! Mais ravie de l’avoir faite avec ma coéquipière, Mathilde.

Quant à la marche, un résultat dans les moyennes mensuelles alliant marche sur le tapis et marche extérieure.

Rendez-vous le mois prochain pour le dernier bilan mensuel de l’année et le bilan annuel avant de s’attaquer à une nouvelle année sportive.

SPORTEZ-VOUS BIEN…

MERCI A MES DONNEURS

VIVE LE DON D’ORGANES, VIVE LA GREFFE

VIVE LE SPORT, VIVE LA VIE

C’est en voyant un reportage à la télévision ces derniers temps, que l’idée nous est venue de nous faire chouchouter les pieds dans un salon spécialisé et réputé à PARIS, rue de la Pompe (ça ne s’invente pas !!).

Mais pas n’importe quel massage, un massage thaïlandais effectué par des professionnels formés en Thaïlande.

Quels sont les bienfaits d’un massage thaïlandais des pieds (foot massage) :

Le pied étant la zone du corps la plus réceptive au soin, le massage thaïlandais des pieds est une source de bien-être et de guérison naturelle. Soin anti-stressant et bienfaisant pour l’ensemble de notre organisme, le massage des pieds thaïlandais est un rituel vieux de plus de 3000 ans. 

Partant de la pointe des pieds jusqu’en haut des cuisses, ce massage consiste en une série de pressions et de drainages issus de la réflexologie plantaire associés à des techniques de massage décontractant. 

Le massage thaïlandais des pieds stimule activement les muscles, la lymphe et les points d’énergie du corps. Il vous aidera à soulager les troubles de la circulation sanguine, les problèmes digestifs, les troubles du système nerveux ou encore les gênes des articulations. 

En plus de permettre un état de relaxation et détente immédiat, le massage thaïlandais des pieds, pratiqué de manière régulière, favorise la sensation de bien-être sur le long terme. Vous vous sentirez léger et en totale harmonie avec votre corps. 

Nous avons testé pour vous le massage thaïlandais des pieds :

Nous nous présentons au salon de massages, rue de la Pompe, sans rendez-vous comme il était notifié sur le site Internet, l’accueil est chaleureux et le patron nous invite à le faire tout de suite si nous le voulons. (Bien sûr que nous le voulons, nous venons exprès pour cela !). Deux masseuses nous sont attribuées, nous proposent une boisson, nous accompagnent au sous-sol au vestiaire en nous délivrant un pantalon de pyjama (taille « 70″ si ça existe !, sans mentir) et des petits chaussons, nous amènent au coin douches pour qu’elles nous lavent les pieds, et enfin nous conduisent sur notre lit de massage.

Nous sommes côte à côte avec Daniel, et les masseuses rentrent en piste. Ce sont des thaïlandaises, qui ne parlent pas beaucoup français, mais elles sont souriantes et soucieuses de notre bien-être. Le respect, la discrétion et l’humidité font aussi partie de leurs qualités.

Alors je ne vais pas vous mentir, c’est du massage « profond » et il y a des zones plus sensibles que d’autres (autour du tibia et mollet) et personnellement, à mes grimaces, ma masseuse pouvait se rendre compte qu’elle appuyait un peu fort. Une fois qu’elle avait ciblé les zones plus délicates, elle s’adaptait et le massage s’est fait des pieds en haut de la cuisse.

Mais la sensation de bien-être est véritablement au rendez-vous, on se laisse aller, on se détend par leurs mouvements, et l’odeur des produits.

30 minutes, c’est très bien, on a vraiment le temps d’apprécier. Après la séance, une coupelle de fruits frais et un thé nous attendent pour savourer ce moment délicieux.

Nos premiers mots avec Daniel : « ça fait vraiment du bien, c’est mieux que le spa, on reviendra !! » Oui, nous allons rajouter une devise. Après « On dit, on fait ! », il y aura en plus « Il n’y a pas de mal à se faire du bien ! ».

Après notre week-end de bien-être avec spa, hammam, sauna, voilà que le massage s’invite pour nous maintenir en forme. Et on aime ça. Alors la prochaine fois que nous y retournerons, nous prendrons une carte d’abonnement pour 20 séances d’une demi-heure, sans durée limitée et non nominative ce qui laisse des largesses quant à son utilisation et la possibilité d’essayer d’autres types de massages.

Est-ce que je vais ressentir le bienfait de ce massage demain sur mon vélo ? Oui parce que demain c’est dimanche et c’est vélo ! Je vous dirai ça en temps voulu.

A bientôt et faites-vous plaisir…

PREMIERE GREFFE = 13/12/1987 à l’âge de 23 ans : durée du greffon = 27 ANS

DEUXIEME GREFFE = 25/11/2016 à l’âge de 50 ans : durée du greffon = 2 ANS (pour l’instant, mais sa route va être longue, je n’en doute pas !)

TROISIEME GREFFE = oups, J’étais partie dans mon élan… Non, j’espère faire mentir le proverbe qui dit « Jamais 2 sans 3″, et m’en tenir à 2 !

Photo prise le lendemain de l’opération :

Je vous livre mon état d’esprit deux ans après cette deuxième greffe et le début de ma troisième vie :

2 ANS que j’ai repris une véritable bouffée d’oxygène : non pas que j’étais amorphe en fin de première greffe, mais se retrouver à 13 d’hémoglobine alors que j’étais à 8 pendant 2 ans, ça change tout !

2 ANS d’une forme physique et psychique retrouvée : quand, en fin de première greffe, vous avez l’épée de Damoclès sur la tête quant à la reprise des dialyses, et subissez tous les effets secondaires dus à votre état qui se dégrade, forcément que, parfois, le moral et le physique n’étaient pas au top !

2 ANS de nouvelles activités : cette forme physique retrouvée m’a permis de reprendre le sport au quotidien, quoique jamais arrêté, et surtout de changer d’activités et remplacer le tennis et l’athlétisme par le vélo et le tennis de table qui m’apportent énormément de plaisir,

J’ouvre une parenthèse :

Pourquoi changer d’activités ? Peut-être pour vivre d’autres expériences avec lui, le cadet, et ne pas comparer avec son aîné (je parle des greffons, vous me suivez !), qu’ils aient chacun leurs expériences à partager avec moi, comme lorsque que l’on perd un animal, on désire ne pas reprendre la même race pour le suivant pour ne pas les comparer…. C’est exactement ce que l’on n’a pas fait bien sûr… Nous avons perdu Paps, labrador noir, et l’on a repris, un mois après, devinez quoi… Dalton, labrador chocolat ! Il y a toujours une exception qui confirme la règle, n’est-ce pas ? 

Je ferme la parenthèse…

2 ANS de rencontres : grâce entre autres aux clubs sportifs mais aussi à l’Association France ADOT 95, au sein de laquelle je suis administratrice et bénévole ; je fais très régulièrement de belles rencontres lors des stands d’information et autres interventions que l’association organise pour soutenir la cause du don d’organes, de tissus et de moelle osseuse.

2 ANS de partages : solidarité, entraide, soutien, sont les maîtres-mots des groupes de partage sur Facebook consacrés aux greffés et dialysés, et auxquels je participe.

2 ANS d’amour des miens : la famille a toujours été un soutien sans faille et maman, qui était notre pilier à tous, doit être fière de voir que nous sommes unis et à l’écoute les uns des autres.

2 ANS de projets plein la tête : de nombreuses sensibilisations pour la cause du don d’organes, pour donner de l’espoir à ceux qui attendent, des projets sportifs comme les Jeux Nationaux et Mondiaux des Transplantés, des projets en duo ou familiaux avec des week-ends, des vacances pour créer des petits moments de bonheur et de merveilleux souvenirs qui font que la vie est belle !

29 ANS de greffes rénales : effectivement je cumule les deux greffes, puisque je n’ai pas repris les dialyses entre les deux, c’est donc une continuité entre ma 1ère et la 2ème ! Ce qui représente plus d’années dans ma vie avec des reins « étrangers », et pourtant si fusionnels, qu’avec mes propres reins natifs !

3 MOIS de dialyses : c’est une chance inouïe dans mon déjà long parcours médical (30 ans !) de n’avoir connu les dialyses que 3 mois !

30 ANS que l’on a découvert mon insuffisance rénale chronique : il faut remonter à décembre 1986 pour l’annonce du diagnostic et le passage en dialyse le jour-même en urgence… j’avais 22 ans, une créatinine à 2000 et une urée à 5 g ! 8 heures de compression à la fémorale suivront cette expérience de première dialyse… ça promettait !

30 ANS de visites et d’examens dans les hôpitaux avec une mention spéciale pour l’Hôpital NECKER à PARIS, ma deuxième maison, où je m’y sens bien, en confiance et suivie par des médecins compétents et humains !

30 ans de vie commune avec ma deuxième fistule : comme je l’ai expliqué la semaine dernière, cette fistule n’aurait jamais dû exister si l’on avait su !!! Mais avec des « si », comme l’on dit…. Ma 1ère fistule, qui avait servi aux 3 mois de dialyse, se bouche lors de l’opération de la greffe rénale le 13 décembre 1987. Le 19 décembre 1987, les Néphrologues décident de m’en créer une seconde au cas où la greffe ne fonctionnerait pas correctement alors qu’elle était partie au quart de tour avec plus de 10 litres d’urines les premières 24 h… Maintenant elle est d’un soutien sans faille pour toutes les prises de sang effectuées depuis bientôt 30 ans et me soulage du calvaire de devoir trouver une veine correcte… Les derniers 17 tubes prélevés se joignent à moi pour la remercier d’être là !

En conclusion, 2 greffes de rein, 3 vies : de l’incident de parcours imprévu dans ma jeunesse, j’en ai fait une force et je peux dire que ma vie a été bien remplie avec ma première greffe, et qu’elle le sera également sans aucun doute avec celle-ci, et ce n’est même pas mon demi-siècle dépassé qui m’empêchera de réaliser mes projets pour faire honneur à mes donneurs et à l’équipe médicale qui me fait confiance !

Pour terminer, je vous livre une citation de Monsieur Albert EINSTEIN, qui concorde bien avec ma dernière passion, le cyclisme :

« La vie c’est comme la bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre ».

C’est donc pour cela que je tombe en vélo… à l’arrêt… en fait il faut avancer !!!

VIVE LE DON D’ORGANES, VIVE LA GREFFE

VIVE LE SPORT, VIVE LA VIE

La phrase du jour : « C’EST NICKEL TOUT CELA ! »

Et c’est mon Néphrologue qui l’a prononcée ce matin… Yes

A 2 jours des 2 ans de ma 2ème greffe rénale, je prends connaissance, lors de la consultation, des résultats des examens faits la semaine dernière et confirmer l’excellente santé de mon greffon, et par voie de conséquence, de sa receveuse, en l’occurrence « moi » !!

Aujourd’hui, j’ai droit au Professeur pour la consultation mais il n’en reste pas moins très abordable et prend le temps de tout expliquer clairement et simplement, d’autant plus que dans mon cas, tout du moins pour l’instant, il n’y a pas grand chose à dire !

Vous les attendiez, les voilà :

Créatinine à 90 ; Hémoglobine à 12,9 et tout le reste sans mauvaise surprise, tout dans les normes.

Il me confirme que l’échographie révèle un très beau greffon, bien vascularisé, de bonne taille, des kystes (normal pour son âge) sur le premier greffon, le rein natif gauche atrophié et l’autre au contraire un peu gonflé, mais tout est normal ! Donc ne pas s’inquiéter inutilement !

Quant à l’ostéodensitométrie, première fois que je fais cet examen, elle révèle une décalcification osseuse minime ; là encore, aucune catastrophe à l’horizon vu mon âge et la pré-ménopause, les années de traitement à la cortisone, il me donne un médicament (ACTONEL) à prendre une fois par semaine qui aurait pour conséquence de diminuer l’évolution et ce traitement ne se fera que pendant 5 ans, période au-delà laquelle le médicament ne fera plus effet.

Anecdote : il me dit pour l’ACTONEL, « C’est facile, c’est une fois par semaine ». A cela je lui réponds ; « Détrompez-vous, c’est là qu’on a le plus de risque de l’oublier… c’est préférable d’en avoir un par jour ! ». Bon je vais faire jouer mon alarme hebdomadaire pour être sûre de ne pas l’oublier dans les premiers temps. Je prends déjà la VITAMINE D, une ampoule tous les trois mois et je ne l’oublie pas !

Par contre, plus de contraintes dans la prise puisqu’il faut le prendre avec un grand verre d’eau (120 ml !), rester debout pendant 30 minutes après la prise pour éviter que le médicament ne stagne dans l’estomac et à distance de 2 heures des repas. Bon heureusement, pour le petit déjeuner, c’est seulement 30 minutes l’écart entre la prise et l’aliment. Donc je vais opter pour cela, le matin au réveil, un grand verre d’eau et un médicament, ça met en forme pour la journée, d’autant que ce n’est qu’une fois par semaine…!

Comme à chaque consultation, je lui fournis un relevé de tension effectué à la maison depuis une semaine, et avec mon application sur le téléphone, je peux faire une moyenne sur 7 jours avec 14 prises, dont voici le résultat :  124 / 82.

Ce qui contraste, comme à chaque consultation, avec la tension prise dans son bureau  : 160 / 98.

Dans mon cas, l’effet « blouse blanche » n’est pas une légende !!

A la prochaine consultation, comme il me l’a suggéré, j’apporterai mon appareil personnel et l’on pourra comparer lors de la consultation s’il y a des écarts lors de la prise dans son bureau.

Pourtant, en attendant mon tour dans la salle d’attente, j’étais plongée dans mon livre du moment « Demain j’arrête » de Gilles Legardinier, ce qui a pour effet immédiat de me détendre et de me faire rire ! Ma tension aurait dû être au top !

A partir de maintenant, je passe en contrôle tous les 4 mois, avec prise de sang et consultation, donc rendez-vous est fixé pour fin mars. Mon néphrologue a renchéri en disant : « Si l’on ne passe pas aux 4 mois maintenant, on y passera jamais ! ».

Et n’oubliez pas, comme le dit le romancier Paulo COELHO :

« La douleur d’hier fait notre force d’aujourd’hui ».