Non, ne me demandez pas de photo de la bête parce que je peux vous assurer que je n’ai pas pris le temps de la photographier… !

C’était un peu avant l’été… Je descends dans mon sous-sol faire du tapis roulant et au bout d’une vingtaine de minutes, je perçois comme une ombre. Je me dis que ce sont des effets de lumière mais soudain je vois se dandider devant moi un furet…

Là si j’avais été cardiaque, j’aurais succombé ! J’essaie de rassembler mes idées, j’éteins ma musique, mes appareils, les lumières, je prends mon portable et mes habits, et je tente de regagner l’escalier pour remonter à l’étage…

J’appelle mon mari qui travaillait : « Il y a un furet au sous-sol ». Ricanements de mon mari « oui oui bien sûr ». Puis au fur et à mesure de la conversation, on comprend par où il est entré parce que Dalton, notre labrador, n’a pas arrêté de sentir cet endroit, m’avoue enfin mon mari. C’est donc par une bouche d’aération percée dans le mur que le furet est passé et est arrivé au sous-sol.

Donc le furet est enfermé dans le sous-sol pour la nuit, car malgré quelques tentatives pour le chasser à l’extérieur, il préférait bien être à l’intérieur et qui plus est, cherchait notre présence. Dès que mon mari voulait descendre au sous-sol, le furet commençait à monter l’escalier… !

Après tout on se dit, s’il a faim ou soif, il repartira par où il est entré !

Le lendemain matin, mon mari aperçoit le furet qui était encore dans  le sous-sol… Je pars au travail et lui dit que je vais essayer de chercher sur Internet, peut-être une équipe de pompiers cinophiles qui viendrait le prendre. Mon mari, lui, avait rendez-vous chez le dentiste et à son retour, il regarde machinalement dans la boîte aux lettres et trouve un petit papier manuscrit « Perdu furette, très joueuse, pas mordeuse » avec un n° de téléphone.

Mon mari appelle et la propriétaire, qui habitait au bout de notre rue, vient chercher son animal avec un jouet qui couine (comme pour les chiens) et la furette est sortie de sa cachette pour retrouver sa maîtresse. Mon mari a trouvé ça très touchant et a regretté de ne pas l’avoir approchée la veille, parce qu’elle ne demandait que ça.

Non pour moi ça aurait été au-dessus de mes forces… !

Voilà une histoire qui finit bien mais qui je l’espère ne se reproduira pas, on a d’ailleurs bouché l’aération extérieure pour éviter une nouvelle intrusion de ce genre !

Hier soir, soirée improvisée au restaurant avec mon frère et ma nièce.

On a fêté Noël, avec 3 jours de retard, mais peu importe la date, et l’anniversaire de mon frère qui est né le 24 décembre… quelle idée !

C’était une soirée de détente où l’on a beaucoup ri et qui fait oublier les tracas quotidiens. Dans nos discussions, on a toujours une référence à Maman bien sûr.

Mon frère et ma nièce, ainsi que mon mari, sont mes piliers désormais que Maman est partie, je me repose beaucoup sur eux, j’ai besoin de leur soutien, leurs conseils pour avancer, avoir des projets et évacuer ces périodes de blues encore trop fréquentes. Bref, je les adore…

Bon si ça ce n’est pas une déclaration d’amour, alors… j’y connais rien !

Bonnes fêtes de fin d’année à tous !!

Le château de Cheverny est une propriété seigneuriale qui appartient à la même famille depuis six siècles. Cheverny a toujours été habité et est ouvert au public depuis 1922.

On peut y apprécier de magnifiques appartements intérieurs témoignant de l’art de vivre à la française.

Cheverny possède également un jardin potager et un parc agrémenté de séquoias, cèdres, cyprès, tous plus beaux les uns que les autres, et la partie forestière du parc peut être parcourue en bateaux ou voitures électriques.

Cheverny est aussi connu pour son célèbre chenil où vit une centaine de chiens qui participent aux chasses à courre organisées dans la région.

Autre curiosité : une exposition sur le thème de « Tintin » car le château de Moulinsart qui apparaît dans l’album « Le Trésor de Rackham le Rouge », est une réplique du château de Cheverny… !

Une idée de sortie agréable à faire si vous êtes dans la région des Châteaux de la Loire !

On a survécu à la fin du monde annoncée pour le 21/12/12… alors profitez de ces moments de fêtes pour réunir votre famille et vos proches et faites le plein de joie et de bonne humeur pour attaquer une nouvelle année qui saura vous réserver des moments pas toujours désirés…

Noël au fur et à mesure des années ne ressemble plus aux Noëls de mon enfance… les personnes qui créaient la magie de Noël ne sont plus là et forcément plus rien ne sera comme avant. Nostalgie quand tu nous tiens !

Le 24 décembre est aussi l’anniversaire de mon frère et j’imagine que ce n’est pas « un cadeau » d’être né le même jour que le réveillon de Noël ! Mes parents ont toujours séparé les deux événements mais globalement la famille oubliait son anniversaire ! Gros bisous grand frère pour ce beau jubilé !

Joyeux Noël à tous et bonnes fêtes de fin d’année…

TANIA (1970 – 1984)

Tania était un berger allemand, de couleur beige, originaire de Gisors, et est arrivée dans notre maison à l’âge de 6 semaines. Moi j’avais 7 ans et mon frère 9. Elle a vraiment été notre compagnon de jeux, elle était douce et affectueuse.

Malgré l’épilepsie dont elle souffrait et qui lui provoqua 2 ou 3 crises, elle n’a jamais manifesté d’agressivité.

Une anecdote : Maman avait cuisiné un coq au vin un samedi soir pour le repas du dimanche midi. Mais dans la nuit, Tania, attirée par l’odeur alléchante du plat, s’est bien régalée. Et c’est en titubant le lendemain matin qu’elle est venue nous dire bonjour, imprégnée de l’alcool de la volaille !

A la fin de sa vie, elle accompagna Papa, en convalescence, dans la maison de campagne en Normandie et y coula des jours heureux. Nous nous y rendions chaque week-end.

A la mort de Papa, Tania s’est laissée mourir, elle ne voulait plus manger, ne voulait plus sortir, cherchait toute la journée mon père dans la maison. Elle va m’adopter comme nouvelle maîtresse. La voyant maigrir, je décide de l’emmener chez le vétérinaire qui me répond : « Contre l’ennui, je ne peux rien faire. Il lui faut du temps pour qu’elle comprenne que son maître n’est plus là ». Je l’avais même emmenée sur la tombe pensant provoquer un déclic.

Elle ne lui survivra qu’un an.

Ma Tania, tu étais une bête formidable !

Ah décidément le 13/12/12, je m’en souviendrai… J’avais déjà passé une journée très pénible pour mes 25 ans de greffe que j’aurais aimé partager avec ma Maman et c’est une idée qui m’avait torturée toute la journée, malgré mes résultats médicaux plutôt bons.

Et pour clôturer cette journée noire, aujourd’hui je reçois une amende de stationnement lorsque je suis allée à Necker. Alors c’est vrai que je n’avais pas payé parce que ma carte de paiement était vide, j’étais loin d’un bureau de tabac pour en acheter une autre, il pleuvait donc je m’étais dit « ils ne mettent pas de PV sur les pare-brises quand il pleut » !

Erreur, grossière erreur… Alors effectivement ils ne mettent pas de PV sur la voiture mais ils l’envoient par la Poste ! Comme  cela, on pense qu’on est passé au travers mais l’illusion ne dure que huit jours !

Est-ce que ça va me servir de leçon ? Pas sûr, j’ai horreur des horodateurs !

CERTES :

- 4 ans de bêtises

- 4 ans de fougues non contrôlées

- 4 ans de « sauts de kangourou »

- 4 ans de courses folles

- 4 ans de balades en forêt

- 4 ans de gamelles gourmandes

- 4 ans de visites médicales

MAIS AUSSI :

- 4 ans de vacances merveilleuses

- 4 ans de jeux avec mes maîtres

- 4 ans de pauses tendresse

- 4 ANS DE BONHEUR AVEC MES MAÎTRES

Et encore beaucoup d’autres à venir !

Voici un tableau effectué par un portratiste canin à partir d’une photo et qui regroupe ainsi virtuellement Paps et Dalton, puisqu’ils ne se sont pas connus !

« La Populaire » est le nom d’une machine à écrire qui marqua les années 1950 et dont toutes les secrétaires utilisaient en tapant dessus de toutes leurs forces. Il existait même à cette époque des championnats nationaux et mondiaux de vitesse dactylographique. C’est le sujet du film, une secrétaire provinciale qui vient d’être embauchée va être entraînée par son patron pour devenir la « championne du monde de vitesse dactylographique ».  Elle ira jusqu’à apprendre le piano pour améliorer ses performances.

Alors moi j’ai fait l’inverse, j’ai commencé par apprendre le piano, de 11 à 18 ans, puis je suis devenue secrétaire, mais j’ai toujours pensé que ça m’avait aidé… J’en ai la preuve maintenant !

Le sujet du film est traité de façon humoristique, c’est très réussi et c’est sympa de se retrouver dans l’ambiance des années 50 avec les voitures de l’époque…

Ceci dit, étant dans le domaine du secrétariat, heureusement que les machines ont évolué. De cette « Populaire », on est passé aux machines à boule et traitement de texte avec disquettes, puis les ordinateurs, ce qui a révolutionné la vie des secrétaires… Croyez moi, quand vous aviez une page à retaper parce qu’une erreur s’était engouffrée dans le texte, et qu’aucune sauvegarde n’existait, c’était un peu galère ! Mais c’est de l’histoire ancienne, vive le progrès !

Voir la capitale sous un autre angle : voilà le programme de ce jour. Deux tours dans la grande roue de Paris, placée sur la Concorde, où l’on domine tous les quartiers de Paris de 60 m de haut. C’est un spectacle fabuleux que de dominer les plus beaux monuments de Paris.

Quelques vues de Paris depuis la roue :

Les Champs Elysées avec au fond l’arc de triomphe et la Défense, le Sacré Coeur, le Jardin des Tuileries et la Tour Eiffel

Un sapin de 35 m a été également importé de Moselle où il a fallu 2 jours en convoi exceptionnel pour atteindre la capitale.

Puis balade sur les Champs Elysées où ont été installés des petits chalets de Noël, où l’on trouve tant des produits du terroir à consommer que des produits artisanaux dans différents domaines. Cette année, une patinoire a été installée en extérieur avec des chalets animés avec des grosses peluches.

Et le rond point des Champs Elysées est toujours très bien illuminé. C’est vrai que la plus belle avenue du monde porte encore mieux son nom à cette époque !!