CHAMBORD PRESTIGE FÊTE SES 43 ANS AUX HARAS DE BLOIS
|Le prix Jean-Girard est lancé en challenge annuel au lycée d’hôtellerie
Le passé, en l’occurrence les 43 ans (dont 23 à La Chaussée-Saint-Victor) de la création de ce qui est devenu, au fil des décennies, en France, une institution en matière de qualité gastronomique en service à domicile ou en extérieur, de 2 à plusieurs milliers de convives. L’avenir, avec l’institution et la création, dès cette rentrée scolaire 2015-2016, d’un challenge Jean-Girard, en hommage au fondateur de l’entreprise, et mis en jeu au lycée d’hôtellerie et de tourisme du Val de Loire à Blois, en catégories de qualité des prestations et du travail d’équipe. Un cadre, aussi exceptionnel que celui de l’an dernier (Chambord) avec l’ouverture exceptionnelle des Haras de Blois.
L’entreprise Chambord Prestige a célébré, avec une météo des plus clémentes, cet anniversaire qui flirte avec le demi-siècle d’existence et le lancement, comme en haute couture, de la nouvelle saison qui arrive. Avec, comme l’ont précisé les responsables, Éric Blondeau, gérant fondateur ; Martial Gicquel, gérant associé, et Jean-Yves Hos, chef cuisinier, «du sur mesure et du cousu main toujours possibles à la demande des clients. La modernité accompagne aussi les créations de Chambord Prestige pour éveiller et séduire les cinq sens dont chaque humain dispose. En ce lieu mythique que sont les Haras de Blois, fermés au public, depuis une bonne dizaine d’années, nous allons faire revivre, pour quelques instants, un esprit de fête et de convivialité».
Pendant plus de 4 heures, ce fut un festival de dégustations plus subtiles les unes que les autres, en compositions froides, canapés confortables, mets chauds aux saveurs envoûtantes, le tout servi par l’équipe de quelque 25 membres dont un bon nombre présents depuis des décennies (Le chef Hos compte 22 ans de boîte après avoir travaillé dans diverses maisons et servi les chefs d’État, ou des ministres, de France et d’ailleurs, tandis que Stéphane, le maître d’hôtel doit avoir autant d’années de service) et qui harmonisent leurs comportements comme les membres d’un ballet, en louvoyant entre les invités, sans défaillances, ni faux-pas. Du grand art.
Les deux cogérants, le chef cuisinier et l’équipe de Chambord Prestige, forts de l’expérience des 43 ans passés, malgré quelques tornades bien vite oubliées, veulent développer au maximum l’événementiel d’entreprise et la qualité des prestations classiques en matière de vie de famille, en apportant, outre une certaine touche magique, une animation de lieux peu habitués à ce genre de repas de fête et de joie, en les transformant et en les magnifiant. «Même si le tout est éphémère, il convient de tout mettre en œuvre pour que le souvenir de ces quelques instants de dépaysement volés au temps qui passe restent gravés, en cousu main et sur mesure, dans l’esprit des clients qui ont écrit la partition de leurs désirs. Nous sommes là pour les mettre en musique et en action à une époque où tout semble avoir été vu ou vécu. Nous prouvons, à chaque prestation, que ce n’est pas le cas. Il y a, encore, beaucoup de belles choses à découvrir. Mais chacun(e) doit comprendre, aussi, que ce n’est pas gratuit. Nous sommes une entreprise qui doit vivre en apportant du bonheur et du rêve aux autres».
Clients, responsables d’associations, fournisseurs et amis, élus, permanents des chambres consulaires…ont, en compagnie, notamment, de Patrice Martin-Lalande, député, et Nicolas Perruchot, premier vice-président du Conseil départemental, souhaité de belles années, encore, à Chambord Prestige qui vient de signer, entre autres contrats, les prestations culinaires au château de Valençay. Partie de Bourré, l’idée de Jean Girard, qui se trouvait à l’étroit dans la boucherie familiale, a accompli un bien long chemin depuis 43 ans…
Richard ODE
Note personnelle :
Je suis très fière de mon frère, félicitations à lui et longue vie à CHAMBORD PRESTIGE