« BURGER ROYAL »
de Laure ALLARD D’ADESKY
Résumé :
Eléonore, 30 ans, jeune médecin à l’avenir prometteur, vit sa vie comme elle l’entend : aucune contrainte, pas de compte à rendre à un homme, une meilleure amie géniale. En somme, elle veut rester libre. Alors quand sa famille se met en tête de jouer les entremetteurs, Eléonore fait l’inverse : elle fuit les hommes. Par le plus grand des hasards, son chemin croise celui du prince Oscar von Silver, le célibataire le plus convoité de la planète…
Entre amour et désillusion, il n’y a parfois qu’un pas et ce n’est pas sûr qu’Eléonore l’entende de cette oreille.
Mon avis :
C’est un beau roman… c’est une belle histoire… comme le chanterait Michel FUGAIN ! Une histoire de princesse, ou comment une vie ordinaire peut devenir extraordinaire mais avec aussi tous les inconvénients que cela engendre. L’émotion est souvent présente et on se lie d’amitié avec les personnages. Bon, pas tous, parce que, comme toujours, il y en a qui ne sont pas très sympathiques, jaloux, envieux, médisants, bref, la vie quoi !
A lire pour se détendre et pourquoi pas croire qu’une telle situation pourrait arriver à n’importe qui : vivre comme une princesse !
Extraits :
« J’ai encore une fois passé mon dimanche chez Mathilde. C’était une véritable torture. En plus de cuisiner son ragoût d’agneau ignoble (qui a dû macérer pendant des jours dans les égouts de Paris), elle avait invité Olivier et un type complètement crétin avec lequel elle veut me marier : Alphonse Claudel. Son prénom suffit à donner l’envie de fuir, mais son look… au secours !!! Qui porte encore des chemises à flanelle ? Et pire, qui choisit d’associer du orange avec du rouge ? J’aurais pu comprendre qu’il soit fringué comme ça s’il avait été clown et n’avait pas eu le temps de se changer après son show au cirque, mais non. Il est pédicure… (sans commentaire). Même une friperie au fin fond de la Creuse ne vendrait pas les fringues qu’il portait. Bon, c’est vrai que le style ne fait pas tout. On peut toujours relooker un type charmant, mais c’est vraiment pas son cas ; il lui a suffi d’ouvrir la bouche pour que j’aie envie de sauter par la fenêtre : il avait une voix nasillarde et était tellement soporifique qu’il aurait endormi un mort. »
Merci beaucoup Christel pour cette critique très sympa.
a bientôt
laure