Fin 2017, un dernier semi et Noel au Portugal

La veille de prendre le départ du semi marathon du Beaujolais en cette fin novembre, j’apprends que j’ai une infection. Malgré la fièvre, je suis au départ. Une bonne ambiance, du monde pour nous acclamer, j’adore cette course.

Je pars rapidement et au bout de seulement 4 km, je me retrouve trempé de sueur, j’ai chaud, terriblement chaud. Je m’arrête à chaque ravito m’hydrater, par chance, les points d’eau sont nombreux. Bon, les stands Beaujolais ne m’attirent pas ! Les km s’enchainent et le froid m’envahit, mes vêtements sont humides et les rares rayons de soleil ne me réchauffent pas.

Arrive la mi course, je commence à aller de mieux en mieux, mon organisme s’habitue et je commence à prendre du plaisir et je termine mon 5ème semi avec le sourire.

2016 : 02:12:28

2017 : 01:58:45

Pont suspendu au dessus du Tage

Sur un coup de tête, afin de me changer les idées et par une envie de soleil, de sables et de vagues, je m’envole pour Estoril, à l’ouest de Lisbonne au bord de l’atlantique. Un super séjour, riche en découverte. Lisbonne est une magnifique ville pour passer Noël, feliz natal.

Je vous conseille l’hôtel Estoril Eden (4 étoiles) au bord de l’océan à Monte Estorl, hébergement calme et personnel aux petits soins même si je ne comprends toujours rien à la langue portugaise, à part quelques insultes !! L’hôtel comprend 2 piscines, intérieur et extérieur, une belle salle de sport et une discothèque. Monte Estorl, petite colline située entre Estoril à 400 mètres et Cascais (500 mètres). Cascais est le joyau de la côte d’Estoril, petit village de pécheurs longeant l’océan entouré de petites plages et de commerces, cette ville vaut le détour, bien plus qu’Estorl. L’avantage d’avoir choisit cette destination, c’est de me trouver proche de l’océan et à 35 minutes en train (TER) de Lisbonne, gare de Cais do Sodré (métro vert). Je me suis rendu à plusieurs reprises dans la capitale portugaise. Je vous invite à découvrir :

  • avec le tramway 28, tramway jaune, une virée à travers la capitale, permettant de s’imprégner de l’ambiance et de visiter à moindre frais,

  • le belvédère de Senhora do Monte et sa splendide vue sur Lisbonne, du Tage à l’ouest aux anciens quartiers,

  • l’Alfama, l’ancien quartier de Lisbonne et son vrai dédale de petites ruelles grimpant la colline menant de l’estuaire du Tage au château,

  • le pont du 25 avril, pont suspendu traversant le Tage en son endroit le plus étroit afin de relier Lisbonne au nord avec Almada au sud. Ce pont ressemble de très près à celui du Golden Gate à San Francisco, le tramway ligne 15 passe dessous,

  • la Sé de Lisboa, la cathédrale la plus imposante de Lisbonne, église agréable mais le principal inconvénient est que la visite est payante, elle est accessible via la ligne 12 du tramway,

  • la Torre de Belém, une incroyable fortification située à l’ouest de Lisbonne, non loin du pont suspendu près du Tage.

A part la visite de la ville, je vous conseille les plages le long de l’océan atlantiques et en particulier la plage de Carcavelos, un des plus beaux sites de sable fin à mi chemin entre Lisbonne et Cascais. J’ai adoré ce petit coin merveilleux et à cette période de l’année, la plage est à nous !! Soleil, sable, océan, calme, profiter de l’instant présent

. le bonheur …

Mon 1er voyage avec EasyJet. C’est loin d’être la meilleure compagnie aérienne mais dans le lowcost, le seul avantage, c’est le prix. Pour mes prochains séjours, j’éviterai cette compagnie ! Une nana EasyJet, sur le vol retour à l’embarquement, m’a fait chier, elle en voulait à mon sac à dos, cela a duré 20 minutes car je ne voulais pas le mettre dans ma valise, bon par chance, elle s’est acharnée sur un couple de vieux et j’ai pu passer. Sur ce vol, le vent était au rendez-vous, outre les turbulences en vol, à l’approche de Lyon Saint Ex, je vois l’aéroport par le hublot, l’avion bouge énormément, j’écoute mon mp3 et n’entend pas la prise de parole du pilote. A quelques centaines de mètres des pistes, l’avion remet les  gaz et je vois qu’on survole Lyon de nuit, un joli spectacle, le pilote n’a pas souhaité atterrir … et oui, trop de vent ! Demi tour au dessus de Lyon, et l’avion se représente à l’atterrissage et, cette fois, le pilote se lance … et finit par se poser. Une fois sur le tarmac, le vent est tellement fort, qu’il faut lutter pour rester debout.

On m’a demandé si j’ai eu peur ? Bah non ! Si l’avion doit taper, il tapera, tout est écrit de toute façon …. mdrr

On continue les voyages, j’ai l’intention d’aller à la rencontre des kangourous sur l’île continent et de me rendre à la ville pomme de l’autre côté de l’atlantique … et d’autres endroits de la planète. Et pour l’activité sportive, tout s’est compliqué en cette fin d’année, toujours sous antibio et dans l’impossibilité de courir !!!!

 

A suivre …

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