Le LUT marque la fin de la prépa-marathon, cette semaine seule une session natation sera au programme. Cette prépa ne sait pas déroulée sans encombre, il n’y a pas eu #étape3 : prépa-marathon // Course des Bords de Saône // semi marathon pour des raisons de santé et le travail.
Ce n’était pas ma première participation au LUT, je devais m’inscrire pour le 8 km mais comme la prépa a été stoppée, j’ai décidé de prendre le départ du 14 km et ses 600 mètres de dénivelé à travers 2 collines lyonnaises, Fourvière et la Croix-Rousse. Pour rendre cette matinée encore plus sportive, je me rends à la gare à vélo (17 km AR). J’arrive 30 minutes avant le départ, dossard retiré la veille, et je me retrouve dans les derniers coureurs du sas 1.
Dés mon inscription, je savais que cette course allait clôturer la préparation et que je prendrais le départ en mode touriste, sans aucune pression et avec comme seul but de ne pas me blesser à une semaine du Grand départ. Dés le début, j’ai de bonnes sensations, les jambes tournent bien et j’avale la 1ère côte sans aucun problème, les kilomètres défilent … Première colline, Fourvière et la traversée du musée Gallo-romain, les premières marches en descente se présentent et je ralentis, ne souhaitant pas y laisser une cheville, je me fais doubler par des oufs de descendeurs !!
Cette année, le tracé est différent, il n’y aura pas de piste de la Sarra mais en revanche, je découvre de nouveaux lieux, des montées et descentes inédites, de nouvelles vues sur la capitale des Gaulles … au 7ème km se présente le ravito, je ne m’y attarde pas et on file sur la seconde colline, la Croix-Rousse. Où la-aussi, des chemins, passages et parcs fermés au public inédits s’ouvrent à nous, je me sens toujours aussi bien, je pourrai prendre plus de risque et gagner du temps mais je préfère profiter et découvrir la ville autrement. Sur les 2 derniers km, le parcours est identique aux années précédentes, je ne prends toujours aucun risque dans les escaliers et je rattrape ce temps perdu en descente … puis se présente la place Louis Pradel et l’hôtel de ville – cette année, on traverse la mairie – et la ligne d’arrivée se situe sur la place des Terraux. Je suis en pleine forme. J’ai rarement pris autant de plaisir sur une course.
2016 : 02.23.31
2017: 02.02.32
2018 : 01.37.26
Je reconnais que le parcours de cette année était plus rapide même si le dénivelé était identique, les déscentes roulantes permettent un gain de temps non négligeable. C’était une bonne édition dont l’objectif aucune blessure est remplit. Toutefois, j’espère retrouver la forme du début d’automne dernier pour dimanche prochain. Et le moral doit être aussi au rendez-vous parce que l’avenir s’obscurcie actuellement ….
Marathon J-7
A suivre …