MAUDIT 18 SEPTEMBRE :
Il y a 2 ans, nous quittait Maman et il y a un an, sa soeur, ma tante, partait également ce même jour.
Pour leur rendre hommage, ce poème indien :
À ceux que j’aime… et ceux qui m’aiment
Quand je ne serai plus là, relâchez-moi,
laissez-moi partir.
J’ai tellement de choses à faire et à voir.
Ne pleurez pas en pensant à moi.
Soyez reconnaissants pour les belles années.
Je vous ai donné mon amitié,
vous pouvez seulement deviner
le bonheur que vous m’avez apporté.
Je vous remercie de l’amour que chacun m’avez démontré.
Maintenant, il est temps de voyager seul.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps.
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur.
Je ne suis pas loin, et la vie continue.
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai.
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là.
Et si vous écoutez votre cœur, vous éprouverez clairement
la douceur de l’amour que j’apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir,
je serai là pour vous accueillir.
Absent de mon corps, présent avec Dieu.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là, je ne dors pas,
je suis les mille vents qui soufflent,
je suis le scintillement des cristaux de neige,
je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
je suis la douce pluie d’automne,
je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
je suis l’étoile qui brille dans la nuit.
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer,
je ne suis pas là.
Je ne suis pas mort !
Ce poême est très réconfortant et très sage.
Bisous