Le 20 février 2014, alors que je me trouvais au travail, je récupérais ma voiture avec la portière arrière enfoncée. Ca fait quand même mal au coeur, elle n’a que six mois. Par chance, l’auteur de ce méfait s’est fait connaître et nous avons établi le lendemain matin un constat amiable.

Le sinistre était on ne peut plus simple… J’étais en stationnement, lui reculait et n’a pas freiné. Je suis tous risques. Je reçois d’ailleurs une lettre de mon assureur m’indiquant que je suis bien victime à 100 % mais allez savoir pourquoi, il envoie un dossier chez le carrossier où doit passer l’expert, avec une franchise de 105 € et les torts 50/50.

Nous sommes le 18 mars, et après deux déplacements chez l’assureur et deux coups de fil, l’erreur n’est toujours pas modifiée. Incroyable au temps de l’ordinateur !! Réponse : bug chez l’assureur. Toujours facile de rejeter la faute sur l’informatique !

Dernier appel ce matin, 18 mars, c’est le carrossier qui l’a passé chez eux. Bien sûr ils ne comprennent pas… tout a été fait dans l’ordre !

Bref, ma voiture est chez le carrossier et demain retrouvera une porte toute neuve.

AVANT

APRES

De toute manière, ils ont tout gagné… Une fois ce sinistre réglé, je change de « crèmerie ». Quand je vois comment ils gèrent un sinistre simple, quelle serait la situation pour quelque chose de plus conséquent ? 30 ans de fidélité s’arrêteront bientôt !